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burkina faso

  • LES RELIGIONS DU BURKINA FASO, exposé de Claire

     

    Le Burkina Faso est l'un des pays les plus hétérogènes d'Afrique pour ses nombreuses croyances locales ou importées.

    Le Burkinabé est profondément croyant.

    sacrifice_burkina_faso.jpgCes vingt dernières années ont connu cependant de profonds changements dans la répartition des confessions déclarées

    • lente décroissance des croyances traditionnelles,

    • montée des religions importées

    • explosion des mouvements sectaires se réclamant "évangélistes".

    Le gouvernement burkinabé a estimé, dans son recensement de 1996,que approximativement 60% de la population pratiquent l’islam et que la majorité de ce groupe appartient à la branche sunnite alors que les minorités restantes adhèrent aux branches chiite, tijane ou salafiste et wahhabite.

    Le gouvernement burkinabé a aussi estimé que 24% de la population conservent des croyances traditionnelles animistes, que 17% pratiquent le catholicisme et que 3% font partie de divers cultes protestants.

     

    Les religions et croyances traditionnelles

    Une majorité de Burkinabé pratique la religion traditionnelle seule ou parallèlement à l'Islam ou au christianisme.

    masquebwa.jpgCes religions traditionnelles associées aux ancêtres et/ou aux esprits avec lesquels on communique ou on rend hommage grâce à des masques, des sacrifices ou des fétiches sont englobées sous le vocable "animisme" ou "fétichisme".

    Chaque communauté ethnique a ses propres croyances ancestrales :

    • Les Lobis forment l'une des communautés qui a le plus conservé sa religion traditionnelle. La vénération des esprits des ancêtres et des fétiches est le pivot de leurs croyances.

       

      La case des fétiches, située en dehors de la concession familiale, tient lieu de temple où sont pratiqués les rites d'hommage et de divination.

      Les Lobis croient néanmoins aussi en un être suprême, nommé Thagba, créateur de tous les êtres vivants.

      Ces esprits invisibles, parfois bienveillants parfois malins et sujets aux conséquences de leurs vices et vertus, exercent leurs pouvoirs sur toutes choses. Pour entrer en contact avec les esprits, chaque village et chaque hameau a au moins un prêtre fétichiste nommé le thildar.

    • Les Mossi croient en un équivalent de paradis, un monde meilleur que les ancêtres auraient atteint et qui serait en contact direct avec le monde des hommes. Ces ancêtres aident ou punissent leurs descendants et sont seuls juges pour leur autoriser l'entrée futur dans le monde des ancêtres.

      En raison de ces croyances, lorsqu'un Mossi jure sur ses ancêtres ou sur ses terres, c'est que la situation est grave. Car ses terres sont directement reliées aux ancêtres et sont un moyen d'entrer en contact avec eux. L'importance de la concession familiale, qui possède et occupe ces terres, est donc primordiale

    Les Kassena, une communauté des Gourounsi, croient quant à eux en un créateur suprême à qui est dédié un fétiche au centre de chaque village.

    Chaque hameau organise des mascarades et rituelles représentant l'esprit de ce créateur. Ces mascarades sont destinées à défaire les ennemis, assurer la paix dans le village et la communauté et protéger la fertilité des femmes.

    Les familles possèdent en outre un autel sur lequel les objets sacrés sont réunis et les sacrifices effectués.

    Chez les Sénoufo, plusieurs ancêtres et esprits des bois sont révérés. La double divinité, Maleeo et Kolotyolo sont au cœur de ces croyances.

    Kolotyolo ne peut être contacté que par l'intermédiaire d'autres divinités. Maleeo, tel un juge suprême s'incarne quant à lui parfois dans des tams-tams sacrés devant lesquels voleurs et meurtriers sont jugés.

    Les Sénoufo assurent de bonnes relations entre le monde vivant et le monde des ancêtres. La société secrète de Sandogo est elle chargée des oracles et de la divination, rituel important dans la religion sénoufo. L'organisation secrète de Pora est réservée aux hommes et parfois aux jeunes filles ou aux vieilles ménopausées. Sandogo est une société secrète de femmes.

    Mais toutes ces croyances ont engendré certaines superstitions nuisible. Un grand nombre de femmes sont régulièrement accusées de sorcellerie et sont bannies de leur village sans possibilité de revoir un jour leur famille. Le sort de ces femmes, souvent vieilles, est le plus souvent la mendicité.

    Le Centre Delwendé, financé par l'Eglise Catholique, héberge et nourrit plus de 400 femmes accusées de sorcellerie dans le quartier de Tanghin à Ouagadougou.

    Toujours dans les superstitions nuisibles, on peut parler du sort réservé aux albinos. S'ils sont moins souvent découpés en morceaux qu'en Tanzanie ou au Burundi pour être revendus comme ingrédients aux sorciers, ils sont en tous cas régulièrement sacrifiés pour porter chance ou jeter un sort. Plusieurs associations s'emploient à défendre les albinos du pays contre ces crimes.

     

    L'Islam.

    mosquée.jpgL'islam est très clairement la première religion du pays en nombre de croyants. Avec 30 à 40% de Burkinabés musulmans.

    Présent de manière éparse sur l'actuel territoire du Burkina Faso depuis le XVème siècle, l'islam n'est réellement implanté que depuis le XIXème siècle. Ce sont les Peulhs qui les premiers ont formé une communauté musulmane cohérente et chroniquement implantée.

    Plus tard, les autorités françaises ont favorisé le développement de l'Islam perçu comme un allié contre certaines chefferies locales animistes hostiles à la présence française.

    Comme dans la plupart des pays d'Afrique de l'Ouest, les musulmans burkinabé se partagent en diverses confréries et courants de pensée.

    • Issues pour la plupart du sunnisme, ces confréries ont des origines géographiques et historiques variées :

    • Le courant salafiste, celui qui génère le plus d'illuminés ou d'agités, est assez peu représenté au Burkina Faso bien que son influence soit grandissante. Partisans d'une lecture à la lettre du coran, ils sont à l'origine des plus formidables preuves d'extrémisme du siècle passé et du siècle en cours.

    • Les Tidjanes, sont des marabouts sénégalais qui sont les importateurs en Afrique noire, ils sont représentés au Burkina Faso depuis 1925. Ils comptent quelques marabouts, écoles coraniques et mosquées à Ouagadougou et dans la province du Yatenga.

    • La confrérie Quadriyya, créée au XIIème siècle en Irak, est quant à elle principalement présente chez les Peulhs.

    • La Communauté Musulmane du Burkina Faso est cependant l'organisation religieuse et associative dans laquelle se retrouvent la plus grande partie des musulmans du pays.

    Il permet à des néo-musulmans nés avec des croyances et des coutumes traditionnelles de se retrouver dans une pratique “tranquille” de l'islam. Pour finir, le chiisme ne compte que quelques rares membres qui tiennent quelques écoles coraniques.

    Comme pour les communautés ethniques, les quartiers des villes sont souvent constitués de groupes religieux homogènes. Ainsi à Ouagadougou, un quartier comme Nemnin, quartier à forte population peulhe est très majoritairement musulman. Ces quartiers à forte proportion musulmane accueillent souvent ce qu'on appelle une "mosquée du vendredi", qui est une mosquée de plus grande taille pouvant accueillir un grand nombre de fidèles lors de la prière du vendredi.

    Aujourd'hui, Peulhs, Mandingues, Marka et Touareg sont les communautés qui comptent la plus forte proportions de musulmans. Ce sont également les plus anciennement convertis à l'islam.

    La religion musulmane est parfaitement bien intégrée à la vie du pays avec des mariages inter - religieux relativement courants et une participation aux évènements festifs nationaux.

    Il est amusant de voir que l'extraordinaire tradition des crèches de Noël à laquelle les enfants chrétiens du pays tiennent tant s'est adaptée aux enfants musulmans qui construisent durant les fêtes de fin d'année des petites mosquées qui n'ont rien à envier aux cathédrales miniatures de leurs camarades.

    Catholicisme.

    Eglise de Yaba.JPGLe catholicisme est présent au Burkina Faso depuis les premiers temps de la colonisation et l'arrivée des premiers missionnaires. La première paroisse du pays ne fut cependant fondée que le 22 janvier 1900, à Koupéla, par Monseigneur Hacquart. La ville demeure d'ailleurs le foyer le plus dynamique de la vie catholique du pays.

    Au cours du XXème siècle, les différentes communautés du pays, des Mossi aux Gourounsi en passant par les Lobi ou les Gourmantché, ont vu une partie de leurs membres intégrer l'église catholique. Aujourd'hui, les catholiques sont environ 1,5 millions au Burkina Faso, soit plus de 10% de la population nationale. Cette proportion tend à augmenter chaque année au détriment des religions traditionnelles.

    A Ouagadougou, comme en province, les églises sont pleines, tout comme les séminaires formant les futurs religieux.

    Il y a treize évêques dans tous le pays.

    Comme partout en Afrique, l'église catholique contribue pour une grosse part à l'enseignement au Burkina Faso via un nombre d'écoles, de collèges, de lycées et d'établissements supérieurs en constante augmentation.

    L'année scolaire 2008-2009 a compté près de 50 000 élèves inscrits dans les 200 établissements catholiques du pays, tous niveaux confondus, avec une légère majorité de filles (52%). Il y a aussi une forte réussite au BAC 65% contre 27% de moyenne nationale.

     

  • L'EAU, UNE DENREE RARE AU BURKINA FASO, exposé de Camille

    Les grandes zones climatiques

    On peut donc distinguer trois grandes zones climatiques :

    • zone sahélienne au nord du pays : moins de 600 mm de pluviométrie par an et amplitude thermique élevées (15 à 45 degrés).

    • zone soudano-sahélienne entre 11° 3' et 13° 5' de latitude Nord. C’est une zone intermédiaire pour les températures et les précipitations.

    • zone soudano-guinéenne au sud du pays: plus de 900 mm de pluie par an et des températures moyennes relativement basses.

     

    On distingue deux saisons inégales:

    l19.jpgLa maîtrise de l'eau

    Pour donner le maximum de chances de développement à leurs agricultures, les autorités Burkinabé ont entrepris une œuvre de longue haleine à la fois pour pallier les inconvénients d’un climat aride et les traditions trop archaïques de la paysannerie.

    mise en place d’un projet SAAGA => nuages sont souvent bombardés pour attirer la pluie pendant la saison pluvieuse pour éviter l’irrégularité des pluies.

    Pays sahélien, le Burkina Faso est en effet, trop souvent victime des sécheresses cycliques qui s’abattent sur la région ou des caprices d’une pluviométrie qui se soldent par de trop fortes précipitations ravinant toutes les bonnes terres arables.
    Aussi, la ‘’maîtrise de l’eau’’ par le forage de nombreux puits, la création des barrages et de larges périmètres d’irrigation.

    Ainsi, un premier grand barrage a été édifié sur la Kompienga près de Pama, à l’est du pays permettant à la fois d’offrir de l’eau aux exploitations agricoles et de créer un bassin très poissonneux où la pêche en eau douce offre d’importantes ressources. Puis un autre barrage a été aménagé à Bagré, dans l’est du pays également.


    Autres actions du gouvernement : accroître le nombre de bonnes terres arables. Seulement 1/100 du territoire était jusqu’à maintenant cultivé, or il existe au Burkina Faso des millions d’hectares parfaitement propices à l’agriculture mais désertées par les paysans : les vallées des grands fleuves. Riche en alluvions, elles sont malheureusement aussi porteuse de terribles maladies comme l’onchocercose (larves déposées sur les yeux par des mouches entraînant la cécité).

     

    Hydrographie

     

    hydro.gif

    Le Burkina-Faso, bien que formant une vaste table arasée et relativement peu arrosé, possède un réseau hydrographique particulièrement dense, Les rivières coupent les zones de collines et de falaises sans essayer de les contourner, Les régions élevées ne constituent pas obligatoirement des centres de dispersion des eaux.

    Les cours d’eau ont un régime tropical qui reflète fidèlement le rythme des précipitations avec des débits faibles, voire nuls, de décembre, janvier à mi-juillet et des hautes eaux de mi-juillet à octobre, puis se situe une période de tarissement dont la durée est fonction des précipitations précédentes. Ce régime n’est pas identique partout, il diffère selon les bassins. Les cours d’eaux du Burkina-Faso se rattachent à trois bassins principaux : Le bassin de la Comoé, le bassin des Volta, le bassin du Niger :

     

    • Le bassin de la Comoé

     

    Situé au sud-ouest du pays, le bassin de la Comoé couvre 18 000 km² et comprend les cours supérieurs de la Comoé et de ses affluents, le Yanon et le Léraba.
    Ces rivières coulent du nord vers le sud dans des vallées, alternant des sections à faible pente avec des rapides. Elles descendent du plateau par des chutes ou des cascades : chute de Karfiguela, Tourny.

    L’écoulement maximum (520 m3/s) a lieu en septembre, après les fortes précipitations d’août, et le minimum (0,7 m3/s) en mars, en fin de saison sèche.

    290px-burkina_faso_carte.png

     

    • Le bassin du Niger

     

    • Le bassin du Niger se subdivise en deux zones :

      Le bassin du Banafing ou Ngorolako qui couvre 4 000 km² et se situe dans l'extrême sud-ouest du pays. Le Ngorolako prend sa source sur la partie occidentale du plateau de Bobo-Dioulasso et s'écoule en direction de l'ouest dans de larges plaines inondables avant d'atteindre le Bani, affluent du Niger qui se situe à l' Est et couvre 72 000 km².

      Ce bassin est composé de plusieurs affluents de la rive droite du Moyen-Niger.

    • Souvent ce ne sont que des chapelets de mares entre lesquelles vagabonde un oued aux bras multiples et aux berges indécises.

    • En dehors du réseau hydrographique, cette zone se caractérise par un nombre important de petites mares, permanentes ou temporaires, qui occupent les bas-fonds où elles jouent un rôle capital pour la vie pastorale.

    • Ces rivières ont des débits annuels très faibles, avec des périodes de hautes eaux réduites à un ou deux mois, suivies d’un tarissement brutal et d’une très longue période sans écoulement pendant laquelle le lit des cours d’eau peut même devenir complètement sec.

     

    • Le bassin des Volta

    Ce bassin central couvre 120 000 km², soit les 2/3 du pays. Il réunit les cours supérieurs des trois Volta (blanche, noire et rouge) et de la Pendjari.

    - Le Mouhoun La Volta noire :

    Il naît sur le plateau du sud-ouest, à 550 m d'altitude, et coule dans un premier temps en direction du nord-est dans une large vallée aux versants doucement inclinés. Sa pente, très faible fait de sa vallée une vaste plaine inondable où elle déroule de nombreux méandres. Sa vallée se resserre et s'en caisse avant de recevoir le Wou-Hou.

    - Le Nakambé La Volta blanche :

    Il prend sa source dans la plaine centrale. Son lit est à peine marqué dans le relief. La direction, initialement nord-sud vire au sud-ouest. Elle reçoit la Koulounga et le Massili. La pente de la rivière est très faible jusqu'à la frontière ghanéenne

    - Le Nazinon La Volta rouge :

    Il prend sa source au nord-ouest de Ouagadougou ; le cours a une pente plus élevée que celle de la Volta blanche et son cours est plus encaissé.

     

  • L'ELEVAGE CHEZ LES PEULH, exposé de Benjamin

    habitation peul.jpg

    Une des richesses agricoles du Burkina est l’élevage. Le Burkina Faso possède sans doute l’un des cheptels les plus denses de la sous région ouest-africaine : près de 7 760 000 bovins, plus de 18 millions de têtes de petits ruminants (ovins, caprins) en 2006.

    Mais les sécheresses qui affectent le Sahel empêchent les éleveurs (Peuls) de gérer convenablement leurs troupeaux d’une année sur l’autre. Les espèces sont variées : bovins, ovins, caprins, porcins, asins (ânes), camelins (dromadaires), équins (chevaux), volailles…

     

    Le bétail est dirigé sur pied vers les pâturages plus riches du Sud avant d’être expédié vers les zones de consommation de la côte.

    De plus, des pasteurs nomades (Peuls), l’élevage est pratiqué dans la zone nord-soudanienne par les agriculteurs sédentaires.

     

    Les peulh des éleveurs nés

    zebus (1).jpgLes Peulh ont établi des liens physiques et sentimentaux avec leur bétails L’élevage est donc le mode d’existence des peuls, et les troupeaux de zébus, qui leur confèrent leur prestige social sont sacrés, mais, transmise par héritage, cette richesse essentielle que constitue les troupeaux, nécessite de trouver sans arrêt des pâturages pour les engraisser et les vendre, ce qui, en retour, leur procure les produits nécessaires.

     

    L'élevage de chèvres et de moutons n'est qu'un appoint, qui leur permet de compléter leur alimentation en protéines animales.

     

    Le mode d'élevage de ces peuples est passé au cours des siècles derniers du type nomade pur, c'est-à-dire avec la recherche des points d'eau et des pâturages sans itinéraire précis, au type transhumant.

    Ce dernier mode d'élevage est caractérisé par des déplacements suivant des trajets fixes et selon un calendrier constant d'une année à l'autre. Ce calendrier dépend lui même de la disponibilité de l'eau et des pâturages, qui est en fonction de l'alternance des saisons (sèche et pluvieuse .

     

    Tradition

    Chez les Peuls, comme chez les Massaïs d’Afrique de l’Est, le prestige se mesure à l'importance des troupeaux, ce qui minimise l’abattage des animaux, d’autant plus que la consommation de viande n’est pratiquée qu’en de rares occasions (mariages, naissances). Mais pour pallier le manque de protéines animales les Peuls pratiquent la saignée sur les vaches du troupeau. Le reste de l’alimentation est apporté par la consommation de miel sauvage et la consommation presque exclusive de lait de vache zébu.

    Tous, femmes et enfants peuvent détenir des animaux dans un même troupeau. La descendance de la vache est offert au mari par le grand-père maternel de son épouse comme un don de naissances qui sera héritée par ces enfants.

     

    Le problème des pâturages

    Malheureusement, un conflit oppose les pasteurs nomades Peuls et les cultivateurs d’arachide. L’arrachage des plants de cacahuètes laisse un sol épuisé, sec et aride, qui met longtemps à se régénérer d’où l’obligation de défricher et de planter ailleurs, mais ces nouvelles zones de culture, et l’appauvrissement des anciennes, réduisent d’autant les zones de pâturage pour les troupeaux des nomades. Or les plantations appartiennent à des marabouts qui dominent la vie religieuse, politique et économique et déplacent, à leur gré, les Peuls, ainsi que le leurs troupeaux de zébus.

    nos premiers Zébus (1).JPG

     

     

     

     

     

  • Lettre du professeur de Français-Histoire-Géo

    A Justin OUEDRAOGO et ses élèves,

    Bonjour à tous,

    Les articles qui vont suivre, sont les lettres des quinze élèves de la classe de Première Baccalauréat Professionnelle Électrotechnique du Lycée Des Métiers de l'habitat La Champagne de  Vitré.

    Je suis leur professeur de français et d'histoire-géographie et nous préparons un voyage scolaire dans votre pays, dans le village de Biba, province du Nayala. Nos élèves vont réaliser sur place l’installation électrique du collège de BIBA en décembre 2010.

    Cette année 2009-2010, sera consacrée à la préparation de notre voyage. Nos élèves vont ainsi pouvoir connaître la culture, l'histoire, la géographie, l'art, les coutumes de nos pays respectifs .

    Je leur laisse donc la "plume", ils vont d'abord se présenter à vous, élèves du LTO de Ouagadougou et vous trouverez leurs lettres lors de votre prochaine rentrée, mi-octobre.

    Viendront ensuite d'autres articles touchant plus spécifiquement au patrimoine historique, culturel, artistique de la France et de la Bretagne.

    Bonne lecture à tous !

    A bientôt

    Bien cordialement

    Patricia Desportes, PLP Lettres-Histoire
    LDM LA CHAMPAGNE, VITRE

     

             
  • lettre de Jody

    Chers amis Ouagalais,

    Je m'appelle Jody, J'ai 16 ans. J'habite Vitré dans un nouveau lotissement. Je suis en deuxième année de Bac professionnel électrotechnique. J’ai plusieurs matières professionnelles (technologie, atelier et dessin de construction) et plusieurs matières générales (Français, histoire, géographie, arts-appliqués, vie sociale et professionnelle, sport et éco-gestion). Cette année, j’ai deux stages à effectuer en entreprise : un du 18 novembre au 23 décembre, et un autre au mois de juin. Quelles études faîtes-vous en ce moment ?

    Aussi, en dehors des cours, je pratique la natation, la lecture. Je joue du piano et je fais de l'informatique. J’ai également pour passion la pêche et l’aquariophilie.

    Je lis principalement des romans de sciences fictions (Ewilan) et de fantaisie (Tentation, L’héritage, A la croisée des mondes). Je vais régulièrement à la pêche avec un ami. Pour cela, nous allons soit au lac du barrage ou dans la rivière qui passe à Vitré. Nous attrapons des brochets des carpes et des gardons. Dans mon aquarium, j’ai de nombreuses espèces de poissons : deux gouramis, des mollys, des danios, des rasboras arlequins et des crevettes. J’y fais régulièrement la découverte de naissances. Quelles sont vos passions ?

    Ma mère travaille à Carrefour : un grand magasin. Mon père travaille à SNCF (société nationale des chemins de fer). J'ai une petite sœur, Lou, qui a 12 ans. Elle est au collège, en 6ème.

    J'ai deux chiens de race golden retriever, un chaton de quatre mois et des phasmes. Avez-vous des animaux de compagnie.

    En Bretagne, nos spécialités culinaires sont les galettes, les crêpes et des gâteaux comme le far breton et le kouin aman. Et vous, quelles sont vos spécialités ?

    Jody

  • lettre de Benjamin

    Salut,

    Je m'appelle Benjamin j'ai 16 ans et j'habite dans la ville de Vitré une ville de 16771 habitants. Je prends le bus pour aller au lycée la Champagne pour faire un bac professionnel en électricité, mes professeurs sont cools et l'atmosphère est détendue. Quelle filière peux-tu avoir dans ton lycée ? Et toi, que souhaites-tu faire plus tard ? Je me lève à 7 heures pour aller à mon arrêt de bus qui arrive à 8 heures.

    J'aime le sport surtout le rugby car je pratique ce sport depuis 6 ans, et parce que j'aime le contact. J'aime toutes sortes de musique, surtout le rock et le reggae et moi-même je joue de la guitare.

    J'ai un frère et une sœur, mon frère est âgé de 20 ans et ma sœur à 24 ans.

    Quel temps fait-il à Ouagadougou ? Chez nous, il fait assez beau à peu près 25° à 30° degrés l'été et en hiver il fait 0° à 5° degrés !

    J'ai hâte de découvrir votre pays et votre culture ! Et pour qu'on puisse discuter ensemble demande mon adresse mail à ton professeur.

    A bientôt ! J'espère avoir de tes nouvelles par le biais de cette adresse et de ce blog !

    Benjamin

  • lettre de Pierre

    Cher(e) Ouagalais(e)

    Je m'appelle Pierre, j'ai 18 ans, je réalise un bac pro électrotechnique au Lycée des métiers de l'habitat La Champagne de Vitré ( j'ai eu mon BEP électrotechnique l'année dernière ). J'ai réintégré la classe de première bac pro électrotechnique. L'ambiance est sympa. Quelles filières sont possibles dans votre lycée ?

    Je voudrais travailler dans les énergies renouvelables ou être électricien industriel car le travail est très varié et avant d'intervenir, il y a une recherche complète du système à effectuer. De plus il y a beaucoup de possibilités de travail car toutes les entreprises possèdent des machines automatisées.

    J'aime bien le lycée donc les années d'études ne me dérangent pas. Mes matières préférées sont l'atelier, les maths et le français. En revanche, je n'aime pas l'anglais car on étudie les mêmes cours d'année en année et le dessin technique car les dessins doivent être réalisés au millimètre près.

    J'habite Vitré c'est une ville d'un peu moins de 17 000 habitants. Combien d'habitants y a t-il à Ouagadougou ? Le matin, je me rends au lycée en bus et le soir je rentre à pied chez moi. Après les cours, je fais mes devoirs puis je joue sur l'ordinateur ou surf sur internet et je regarde la télévision. Sinon, je sors avec mes amis lorsque j'ai le droit d'emprunter une des voitures à mes parents car j'ai eu mon permis de conduire en juillet .

    Mes parents travaillent tous les deux à Vitré, mon père travaille de jour dans un abattoir et ma mère travaille de nuit dans cette même entreprise qui emploie 1 200 personnes. Je travaille aussi dans cette entreprise pendant les vacances pour faire des économies. Y a t-il des entreprises à Ouagadougou ?

    Le week-end, je vais à la pêche, je m'occupe de mon aquarium, je sors aussi (cinéma, restaurant, piscine). Parfois, je me rends dans ma famille, chez mon grand-père mes tantes et mes oncles qui habitent à 150 km de chez moi. J'aime bien leur rendre visite car la mer n'est pas loin et leurs maisons sont à la campagne.

    Demande mon adresse email à ton professeur.

    Je suis vraiment pressé de recevoir de vos nouvelles par le biais de cette adresse. Je suis aussi pressé d'aller au Burkina Faso pour connaître votre culture et votre mode de vie qui doivent être bien différents du notre.


    Amicalement

    Pierre


     

  • lettre de Kalvin

    Bonjour,

    Je m'appelle Kalvin, j'ai 16 ans et demi, j'ai des origines italiennes ainsi que polonaise. J'habite en Ille-et-Vilaine et j'ai de la famille en Haute-Saône (France) ainsi qu'en Italie et en Pologne.

    J'habite entre Rennes et Vitré à Chauvigné. J'habite dans le bourg entouré par la campagne où je me plais beaucoup. Je suis en fête tous les weekends, je vais en boîte de nuit le samedi soir où je vais avec des amis ou alors au cinéma avec une amie.

    J'ai une passion, c'est le foot je m'entraîne tous les mardis soir ainsi que le mercredi, jeudi et vendredi soir j'aime courir et j'espère pouvoir le faire avec vous. Est-ce que vous auriez un club de football autour du lycée??!

    J'ai été repéré par Rennes et Guinguamp pour jouer en club formateur. Je n'aime pas le dire car on dit que je suis orgueilleux, alors que je ne le suis pas. Je suis pressé de jouer avec vous, j'apporterai un ballon de foot.

    Je suis le seul interne de la classe et je ne me plais pas trop mal à l'internat, les surveillants sont sympas. Les cours se passent avec 15 à 30 élèves environ par classe et vous?

    J'aime parler aux filles, lorsqu'elles sont timides et gentilles. J'espère que je pourrai vous parler le plus tôt possible pour pouvoir faire connaissance. Demandez mon adresse mail à votre professeur.

    A très bientôt

    Kalvin

  • lettre de Sylvain

    Bonjour

    Je m'appelle Sylvain. J'ai 18 ans, j'habite dans un petit village à Chelun en campagne où je joue au foot. Il y a un café, une école primaire pour des classes de CM1 et CM2. qu'  y a t-il comme commerces à Ouagadougou ?

    Je suis au lycée des Métiers de l'habitat La Champagne en BAC Pro Électrotechnique que j'ai intégré après avoir fait un BEP pendant deux ans. Je l'ai passé en juin et je l'ai eu.

    Quelle est ta filière ? Le lycée est cool et et les professeurs aussi.

    Je vais au lycée en car tous les matins et tous les soirs sauf le samedi et le dimanche car c'est le week-end. On s'entend très bien dans le car. Je prends le car à 7h20 pour arriver à Vitré à 8h. Comment  vous rendez-vous à l'école ?

    J'ai trois sœurs mais pas de frère. Mes sœurs ont 22, 21, et 15 ans. Mon père est charpentier et ma mère conduit des mini-cars pour emmener les élèves du primaire à l'école. Elle est aussi femme de ménage dans une entreprise. Je m'entends bien avec mes parents et mes sœurs. Mes deux grands sœurs habitent avec leur copain.

    J'aime bien l'électrotechnique, l'électricité, la mécanique et le sport. J'écoute toutes sortes de musique.

    Demande mon adresse mail à ton professeur

    J'espère avoir de tes nouvelles. Salut

    Sylvain

     

  • lettre de Steven

    Bonjour,

    Je m'appelle Steven et j'ai eu 17 ans en mars dernier. J'ai deux frères de 15 et 19 ans, un petit chien qui s'appelle "Vanille" et chez vous,  combien êtes-vous dans ta famille ?

    Je suis au lycée professionnel des Métiers de l'Habitat La Champagne. Mes cours préférés sont l'atelier, le dessin de construction. Je me suis plutôt bien intégré dans cette classe il y a une bonne ambiance. Est ce que l'ambiance de ta classe est bonne. Comment sont tes professeurs ?

    Je me rends au lycée tous les matins et je rentre tous les soirs en car. J'habite dans un petit village qui s'appelle Saint Didier il y a trois quatre commerçants (une boulangerie, une boucherie, une petite épicerie et un bar tabac presse).

    Mes activités sont la pêche, écouter de la musique je n'ai pas de genre préféré j'écoute un peu de tout mais plus en particulier la dance électro. Et toi quelles sont tes activités à l'extérieur du lycée ?

    Je sors également avec mes amis en discothèque.

     

     

    J'espère vous voir à Ouagadougou en décembre 2010 et continuer à échanger des informations par internet. Demande mon adresse mail à ton professeur.

    Steven.

  • lettre de Claire

    Cher(e) Ouagalais(e).

    Bonjour,

    Je m'appelle Claire, j'ai 16 ans et j'habite à la sortie de Vitré, la maison est entourée de champs et d'entreprises. A quoi ressemble ta maison?

    Quand j'étais plus jeune, j'ai déjà voyagé, je suis allée près de la Suisse avec l'école faire du ski et j'ai été en Allemagne rencontrer nos correspondants.

    J'ai une sœur elle s'appelle Hélène et elle a 18 ans, mon père Éric est électromécanicien, c'est presque le même métier que j'étudie au Lycée Des Métiers de l'habitat La Champagne, ma mère Alexiane est mère au foyer et la dernière de la famille, notre chatte s'appelle Cléo. As tu une grande famille?

    J'aime bien lire et écouter la musique, j'écoute plus du Rock et j'aime bien sortir avec les amis, on va souvent au parc, il est assez grand, il y a des jeux pour les enfants et un petit lac à l'entrée.

    Le matin, pour aller au lycée, ma mère m'emmène, mais le soir, je prends le bus de la ville et après direction la maison c'est à environ dix minutes de marche. Tu vas à l'école comment ?

    Comme tu as pu le remarquer, je suis une fille et je suis dans une classe de quatorze garçons. Je voulais étudier l'électronique car c'est la seule section qui m'a plue, c'est vrai que cela m'a changée du collège, car c'était une classe mixte et là, je suis la seule fille mais ça va on s'y habitue vite, car les garçons sont plutôt sympas.y a-il beaucoup de filles dans ta classe ?

    J'attends ta réponse avec impatience. Pour me contacter demande mon adresse à ton professeur.

    Claire

  • lettre de Camille

      Cher(e) Ouagalais(e)

    Salut je m'appelle Camille. J'ai dix sept ans je suis au lycée de Vitré en bac pro électrotechnique.

    J'habite à l'ouest de la France dans une petite ville qui s'appelle Chantepie. C'est un cadre assez rural. Derrière chez moi, il y a un petit parc qui est très sympathique pour aller s'y reposer.

    Je vais au lycée en train car j'habite assez loin du lycée, je mets environ une heure à aller au lycée. Nous sommes quinze dans la classe et l'ambiance est assez bonne. J'aime bien aller au lycée pour retrouver mes amis que je connais pour la plupart depuis les trois années passées.

    Je vis avec mes parents et mon petit frère de dix ans. Mes parents travaillent tous les deux à La Poste. L'ambiance de la maison est très agréable. Je m'entends très bien avec ma famille, je partage beaucoup de choses avec mon père car, on a les même passions comme la musique nous allons d'ailleurs a un concert de rock au mois de décembre. Comment est ta maison ? Ta famille ?

    J'ai plusieurs passions : l'aéronautique qui, si possible, sera mon futur métier, le roller-hockey que je pratique en club depuis trois ans et la musculation que j'ai débutée cette année.

    J'ai également des passe-temps comme la lecture, surtout des mangas.

    J'aime aussi le dessin. Je joue beaucoup sur mon ordinateur.

    J'écoute également de la musique mais je n'ai pas vraiment de style préféré.

    J'ai plusieurs questions à vous poser:

    - Quelle sera la température quand nous allons venir au mois de décembre?

    - Quelle sera la nourriture que nous allons pouvoir découvrir ?

    J'espère avoir une réponse à cette lettre et espère te rencontrer quand je vais venir en décembre 2010. Pour me contacter demande mon adresse e-mail à ton professeur.

    Au revoir

    Camille

  • lettre de Kévin

    salut,

    Je m'appelle Kévin, j'ai 16 ans, j' habite dans petit village appelé Saint Didier où je fais du basket en club .

    Étant petit, j'ai vécu en Afrique au Gabon durant trois ans c'était bien , il faisait chaud ça change beaucoup de la France où il fait froid. Ici, il y a plus d'arbres et les animaux ne vivent pas en liberté.

    Je me trouve au Lycée des Métiers La Champagne à Vitré, je suis en première bac pro électrotechnique, ce qui consiste à travailler l'électricité et j'aime bien ça car on étudie la théorie et on fait des stages.

    Combien êtes-vous par classe et dans votre lycée ? Et combien y a t-il de filières possibles ?

    J'espère vous rencontrer lors du voyage en décembre 2010 et peut être échanger déjà sur internet

    @+

    Kevin

  • lettre de Wancé

    Bonjour,

    Je m'appelle Wancélas, mes copains m'appelle "Wancé", et je suis au Lycée Des Métiers de l'habitat La Champagne à Vitré, dans le domaine électrique. J'espère avoir mon Bac Pro pour pouvoir accéder plus facilement à l'école de pompier car il n'y a que trente places pour toute la Bretagne. Au Lycée l'atmosphère est détendue et on a des professeurs qui sont sympas. Ils sont tous à notre écoute quand on a besoin ce qui nous permet de vite progresser. Que souhaites-tu faire comme métier ? Combien de temps d'étude faut-il pour pouvoir y accéder?

    J'ai plusieurs loisirs, j'aime bien faire du basket avec mes copains car j'en fais en club. J'aime bien écouter de la musique et mon style de musique c'est le Rap français et américain. Comment s'appelle votre genre de musique ? J'ai un frère qui a onze et qui fait lui aussi du basket avec moi et j'ai une sœur qui a neuf ans. Combien as-tu de frères et sœurs ? J'habite à Chatillon-en-Vendelais qui est une petite commune entre Vitré et Fougères. Dans ma commune il y a un étang et un terrain de basket public. Il y a une forêt devant et derrière chez moi. Demande mon adresse à ton professeur, comme ça on pourra s'écrire.

    J'espère bientôt te voir en décembre 2010 et échanger des informations. Salut et à bientôt.

    Wancé


  • lettre de Valentin

    Salut,

    Je m'appelle Valentin, j'ai 17 ans et j'habite à Vitré pas loin du lycée des métiers de l'habitat de la Champagne. Dans notre classe, on est quinze à étudier l'électrotechnique. On s'entend assez bien, on rigole souvent tous ensemble. On travaille beaucoup pour notre projet d'aller dans votre pays.

    - Quelles matières étudiez-vous au lycée ?

    Je viens au lycée en bus le matin et je rentre souvent chez moi à pied le soir, sinon j'ai un petit frère de 5 ans qui s'appelle Benjamin. Mes parents travaillent tous les deux. Mon père est routier et ma mère assistante d'exploitation. Je m'entends très bien avec ma mère et mon père et moi chahutons très souvent ensemble comme des gamins.

    - Combien êtes-vous dans votre famille ?

    Sinon, moi j'aime le sport et surtout le Handball, que je pratique d'ailleurs. Mes autres passions sont le Japon et les jeux vidéos sur internet (MMORPG, MMO,).

    Ma petite copine s'appelle Marion elle a 19 ans et elle travaille.

    - Quels sont vos loisirs au Burkina ?

    Sinon, je suis impatient de travailler en commun avec vous sur le blog et je suis impatient d'apprendre à vous connaître.

    En espérant avoir bientôt de vos nouvelles.

    Valentin


  • lettre de Jonas

    Bonjour,

    Je m'appelle Jonas, j'ai 16 ans, je vis dans la campagne près d'une petite commune qui se nomme Janzé, et toi comment t'appelles-tu, quel âge as-tu ?

    Je suis passionné par la musique et je joue de la batterie, et toi, aimes-tu la musique ?

    J'aime le basket mais je n'en pratique pas pour autant. Es-tu passionné par un sport ?

    J'aime bien voir mes amis même si je ne les vois pas souvent car j'ai déménagé.

    J'ai un frère âgé de 20 ans qui travaille dans la logistique. As-tu des frères et soeurs et quel âge ont-ils, si tu en as ?

    Je suis en seconde année en électrotechnique au Lycée Des Métiers de l'Habitât La Champagne à Vitré. Mon transport se fait en car et dure 45 minutes tous les matins et les soirs. Que comptes-tu faire plus tard ?

    Je suis content et impatient de voyager et découvrir votre Pays.

    Au revoir

    Jonas


  • lettre de Jordan

    Salut,

    Je m' appelle Jordan, j'ai 17 ans je viens d'avoir mon BEP électrotechnique et maintenant je prépare un BAC électrotechnique au Lycée des métiers de l'habitat La Champagne à Vitré. Cette année, j'ai intégré la classe de bac trois ans et ça se passe très bien car je connaissais déjà la classe.

    Mes matières préférées sont l'atelier, les maths, la physique en revanche je n'aime pas l'anglais ni le français. Combien êtes-vous dans votre classe ? Quelle filière sont possibles dans votre lycée ?

    J'habite à Vitré. Tous les jours où il y a cours, je prends le bus ou j'utilise mon scooter.

    J'ai deux frères l'un s'appelle Aurélien, il a 22 ans, il fait un BTS logistique, l'autre s'appelle Cédric il a 29 ans il est paysagiste. Mon père est couvreur et ma mère est assistante maternelle.

    J'aime l'informatique, l'électronique. Comme sport je pratique l'escalade.

    A bientôt

    Jordan

  • Lettre d'Estéban

    Salut,

    Je m'appelle Esteban j'ai 16 ans et j'habite dans un petit village prénommé La Chapelle Janson, il y a une boulangerie, un bar tabac, un boucher et une épicerie, mon petit village est à 40 minutes de car de la ville de Vitré où se trouve le lycée.

    J'aime bien faire la fête avec mes amis, sortir en boite de nuit avec eux, j' écoute du rap en général mais aussi d' autres styles de musique.

    J'adore le football que je pratique en club depuis 10 ans, quel sport aimes-tu ?

    Je suis au Lycée des Métiers La Champagne de Vitré pour préparer une formation d' électricien, et toi que fais-tu comme formation ?

    J'ai deux sœurs, une âgée de sept ans et l'autre de quatorze ans. As-tu des frères et sœurs ?

    J'adore les motos, je possède un scooter.

    J'ai hâte de découvrir votre pays et votre culture.

    Au revoir et à très bientôt

    Estéban